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Bonne fete à toi aussi !! Et ne sois pas sage !!
Bisous tout plein
Anthony
Un amant dominateur
J'ai toujours voulu rencontrer un mec dominateur qui saurait me soumettre et m'amener à devenir une chienne. Le problème est d'accepter la soumission et surtout de trouver un maître en qui on ait
confiance et qui est suffisamment vicieux. Et ça, c'est compliqué.
Je l'ai rencontré d'une façon tout à fait normale : sur un site de rencontre. Je cherchais un plan chaud et me présentais comme un passif soumis. Je tombe sur ce profil : « Arabe marocain de
41 ans, 1m77, 81k, membré large, velu comme un ours (dixit l'annonce) et qui cherche une salope qui saura se laisser faire ». Voilà grossièrement le dialogue sur le chat :
- Salut. Je suis passif soumis. Et toi?
- Moi actif exigeant. Mare des faux passifs qui n'encaissent pas.
- Une fois ouvert, j'encaisse plutôt bien. Et selon feeling, j'aime les plans domi. Tu es dispo quand?
- Envoie photo avant. Par MMS. Mon tel 06...
J'envoie la photo.
- Plutôt intéressant. Je suis dispo maintenant et je reçois. Moi Karim
- Moi Alain.
Il me donne son adresse. Plutôt pas compliqué le monsieur. C'est bon signe.
Je me prépare et je pars. Une fois sur place, je l'appelle et il me guide jusqu'à chez lui. Je monte les escaliers, stressé comme dans tous les premiers plans. Je sonne et un homme barbu m'ouvre.
Son regard me réduit au silence. Il me dit de me mettre sur le canapé.
L'appartement est assez petit et la pièce principale est très claire. Sur le canapé, plusieurs serviettes. Je vais passer à la casserole ici, j'ai bien l'impression.
- Tu fais souvent ce genre de plan? Me demande-t-il.
- Ça dépend de mes envies.
- Tu veux boire un truc? Ou bien tu veux me sucer direct?
- La pipe c'est pas mal. Dis-je avec un petit sourire.
- Je vais être rude à partir de maintenant. Ça te va?
- Heu. Oui...
Il s'assoie sur le canapé à côté de moi.
- A genoux pétasse. Et tâte-moi le paquet !
Je fais ce qu'il me demande et commence à tâter ses cuisses et remonte vers la bosse qui est encore toute molle. Je me demande la taille de sa queue. Après quelques secondes, je pose ma bouche
sur sa bosse à travers son pantalon et mordille doucement. Ça commence à grossir et à durcir. Je passe ma main sur son ventre un peu grassouillet mais très velu.
- C'est bien salope. Je te cracherai mon jus dans la gorge après la baise. Direct en fond de gorge. Si tu n'as pas l'habitude, ça te fera tout drôle.
Je prends l'initiative de défaire sa ceinture.
- C'est bien. On n'a pas besoin de te dire quoi faire.
Il se lève un peu pour que je puisse descendre son pantalon et son slip. Je me retrouve face à une grosse queue, pas longue, mais avec un gros gland et une base encore plus grosse. Elle est
droite et pas totalement dure. Elle sent un peu fort, certainement la transpiration. Ses poils font une grosse touffe noire et épaisse tout autour de sa queue.
- Gobe un peu le gland et tâte mes boules !
Je prends ses boules en mains. Il a vraiment beaucoup de poils. Ce n'est pas très excitant sur le moment. Je commence à prendre son gland en bouche et je sens une petite odeur de pisse.
Après quelques minutes, sa queue est raide et j'ai la bouche pleine avec son gland et une partie de sa queue. Je n'arrive pas à en prendre plus car la base est vraiment trop grosse. S’il
s'enfonce à fond dans mon cul, je vais dérouiller.
Il se lève et me dit de rester à genoux. Il me prend la tête avec ses deux mains et commence à me baiser la bouche lentement et régulièrement. Et de plus en plus à fond.
- Je vais te niquer la bouche tellement longtemps que je vais t'anesthésier la gueule comme chez le dentiste, sac à foutre ! Putain, je vais te faire regretter de m'avoir dit que tu
encaisses. Je vais te ruiner tes orifices, façon arabe en rut. Je vais te faire comprendre qu'elle est ta place, sous merde !
Il accélère le rythme. Je commence à avoir du mal à suivre. Mais il ne s'arrête pas. Et augmente le rythme lentement et ne ralenti à aucun moment.
- Lève les yeux !
Je le regarde, il se racle la gorge et me mollarde le visage. Ça tombe sur le nez et coule sur une de mes joues.
- La prochaine fois, je te mollarde dans la gueule. Je vais te faire goûter à la bave d'homme. Et t'as intérêt à avaler !
Il commence à me bloquer sa queue pendant quelques secondes dans la gorge, puis ressort. Il répète l'opération plusieurs fois. J'ai vraiment du mal à l’ouvrir. La queue ne va pas trop au fond,
donc je n'ai pas de haut le coeur. Mais je commence sérieusement à avoir mal à la mâchoire à force d'ouvrir autant la bouche.
- C'est bien. Je vois que tu prends bien l’étouffement. Je crois qu'un de ces jours, je te pisserai dans la bouche pour bien me servir de ta bouche comme d'une chiotte. Ça va te faire drôle je
pense.
Je ne suis pas particulièrement attiré par l'uro. Mais voir ce mâle dominant prendre plaisir me fait dire que je vais certainement le faire.
- Allez tapette, déshabille-moi !
Je me lève et avale toute la salive que j'ai dans la gorge et m'essuie la bouche avec ma main. Je retire sa chemise et découvre un torse complément velu. Des biceps gros comme mes cuisses, un
torse avec des pectoraux saillants et un ventre assez rond, mais fermes qui lui donnent un air de daddy qui m'excite au plus haut point.
Je déposé sa chemise sur le canapé et m'agenouille pour retirer son slip, son jean et ses chaussettes. Ses cuisses sont tout aussi velues que son torse ou ses bras. Un vrai ours comme il l'avait
écrit.
- Renifle mes couilles !
J'obéis et sens vraiment une odeur forte de transpiration. Il me prend la tête, ouvre ses cuisses et me colle le nez entre ses couilles et son trou.
- Lèche et gratte-moi les couilles doucement. Après, je te travaillerai le cul pour te niquer comme la dernière des chiennes !
J'ai plein de poils dans la bouche, je n'aime pas trop mais, devant l'autorité de ce mec, je n'ai qu'une envie, c'est de le rendre fier de moi. Je lèche donc tout ce que je peux. Et par moment,
ma langue va tâter un peu son trou du cul.
- T'as l'air d'aimer l'odeur de mâle. Je te ferai travailler mon trou avec ta langue. Et si je suis d'humeur, je laisserai même un peu de merde. De la merde pour une sous-merde ! Mets-toi à
quatre pattes sur le canapé ! Je vais te doigter et ensuite je t'encule. Je te préviens, la préparation n'est pas mon fort. Ça m'emmerde !
Je m'installe donc sur le canapé et cambre un maximum pour bien tendre mon cul. Il crache dessus et commence à insérer un doigt. Puis rapidement un second et troisième viennent. Il crache
plusieurs fois sur mon trou et me doigte de plus en plus. J'encaisse plutôt bien je trouve, certainement l'excitation.
- Je vais mettre une capote. Je suis persuadé que tu t'es déjà fais doser.
- Oui. Mais uniquement par des mecs que je connais.
- Si t’encaisses bien, je te doserais un jour. Je suis sain, je te montrerai un test.
Il colle son gland sur mon cul et pousse doucement sans s'arrêter. Je couine car son gland est vraiment gros.
- C'est du lourd. Je ne travaille pas la profondeur mais la largeur. Je vais te faire couiner quand je rentrerai et sortirai.
Je pousse tout ce que je peux pour m'ouvrir. Ça risque laisser des trace, mais je m'en fout, j'ai pas envie qu'il m'explose le cul. Là, je commence un peu à flipper.
- Allez. C'est parti. Je te refais le trou.
Il s'enfonce à fond doucement. Mais fermement. Une fois &ag
Une voisine dominatrice
J’avais finalement épousé Janet, la femme de mes rêves. Janet est jeune, belle et sexy, la parfaite compagne pour moi qui étais le plus jeune et le plus dynamique directeur de l’entreprise, sous
ses ordres je précise, mais question physique, loin d’être un dieu grec malgré ma belle gueule.
Nous sommes sortis pendant quatre ans avant de nous marier et nous revenons juste de notre lune de miel. Prêts à vivre une vie parfaite dans un quartier huppé de la ville. Malheureusement, comme
tout le monde, j’ai un coin sombre et les miens s’appellent lingerie féminine. J’adore porter des vêtements de femme mais plus encore la lingerie, qu’elle soit de satin ou de nylon, pourvu
qu’elle ait beaucoup de dentelles et de rubans. Je suis incapable de résister.
Mon éducation stricte et chaste que m’avait donnée mes parents m’avait retenu jusqu’à l’arrivée de Janet dans ma vie. La confession de ce travers serait vraiment trop dure et surtout, je ne
voulais pas qu’elle me prenne pour un pervers et préfère divorcer. Au lieu de cela, j’ai réussi à me trouver des créneaux entre notre vie de couple et le travail que nous faisions tous les
deux.
Je pus assouvir de temps en temps mes besoins discrètement dans notre appartement. En effet, en travaillant le week-end parfois, je pouvais récupérer mes heures en semaines donc librement car
Janet, elle en temps que patronne, devait respecter les horaires de bureau. Aujourd’hui justement, c’était le cas.
Comme toujours, cela commence comme une journée ordinaire. Je ne prends ma douche qu’après avoir préparé le petit déjeuner de ma femme, discutait avec elle de choses et d’autres et l’avoir
longuement embrassée sur le pas de la porte.
Enfin seul, tout commence par une douche et je me rase soigneusement. Je ne suis pas poilu, ce qui est une chance mais je regrette ne pas pouvoir raser mes jambes car le contact des vêtements
féminins sur une peau rasée est décuplée. Mais comment aurai-je pu explique cela à Janet ? Le jour où je trouverai une excuse, je n’hésiterai pas une minute. Peut être en me lançant dans la
natation? D’après ce qu’on m’a dit, les nageurs se rasent les jambes car l’eau glisse mieux ainsi. Moi, c’est plutôt les nuisettes que je voudrais faire glisser sur mes jambes.
Par contre, si j’ai quelques poils, j’ai la chance d’avoir un corps fin, donc je peux porter les vêtements et sous vêtements de ma femme. Prudemment en général, je me cantonne aux affaires qui se
trouvent dans la corbeille de linge sale car, sous l’excitation, il m’arrive régulièrement de tacher de mon sperme la culotte. Je fais très attention car c’est elle qui lave à la main ses sous
vêtements.
Aujourd’hui, je suis une future femme chanceuse car dans le panier à linge, il y a un magnifique corsage de satin rose pale et assorti, un soutien gorge et un porte jarretelle doublée de dentelle
noire. Une pure merveille. S’il y a porte jarretelle, il doit y avoir des bas, donc je me mets à leur recherche. Janet ne porte pas souvent ce genre de lingerie et je le regrette beaucoup, ce qui
fait que je me suis constitué une petite réserve dans l’appartement et justement, j’ai plusieurs paires de bas.
Apres avoir mis le soutien gorge que je remplis classiquement par des chaussettes, je songe à m’acheter des seins aux silicones mais il faut que je me trouve une cachette plus conséquente
d’abord, vint le tour du corsage. Je passe voluptueusement ma tête dans cette matière soyeuse qu’est le satin et la laisse retomber toute légère sur mon corps. Cette douce caresse éveille le zizi
qui dormait entre mes jambes. Pour plus de sensation, le corsage étant cintré, il me serrait divinement à la taille. Vint ensuite la pose des bas que j’enroulais tout doucement puis déroulais le
long de mes jambes tout en admirant mes nouvelles jambes de noir vêtues. Les yeux fermés pour plus de volupté je glissais mes mains le long de mes jambes pour savourer le toucher. J’adorais être
ainsi emprisonné par le nylon. Vint le tour du joli porte jarretelle avec ses coquins petits nœuds roses foncés, je m’attardais voluptueusement au passage de mon clito avant de le fixer à ma
taille. Plus qu’à attacher les bas aux jarretelles que je tendis bien serrés. J’adorais en marchant ou en m’asseyant, avoir cette sensation d’emprisonnement lorsque les jarretelles tiraient sur
les bas. Vint ensuite la culotte de satin avec sa dentelle blanche pour entourer les jambes. Culotte que je regardais et tripotais avant de me décider à l’enfiler mais, bien sur, elle ne pouvait
contenir ma queue toute droite. Maintenant, je marche dans la pièce en essayant de me déhancher le plus sexy que possible, mettant un pied devant l’autre comme les mannequins starlettes pour
faire crisser l’un contre l’autre la paire de bas. Ma queue est droite mais j’évite d’y penser, il me faut me calmer pour éviter que la conclusion inévitable arrive trop vite. Au début, maintes
fois, il ne me fut pas possible de résister et j’éjaculais, dorénavant j’essayais de tenir plus longtemps car le plaisir était décuplé par la suite. Cela ne m’empêchait pas ensuite de récupérer
et de reprendre mon petit jeu tout le reste de la journée.
Mais pour l’instant, la combinaison du satin frôlant le nylon me mettait dans tous mes états, je caressais mon torse, mes jambes et frôlais mon clito sans oser insister si je voulais tenir. Je
poussai un gémissement lorsque j’entendis :
Toc, Toc, Toc! Cela venait de la porte. Qui cela pouvait-il être? Personne ne savait que j’étais ici ! Mon cœur battait la chamade comme un écolier pris en fraude. Les rideaux sont tirés,
personne ne peut me voir. Le mieux, c’est de ne pas bouger, l’impertinent partira. Impatient, mes doigts tapotent la hampe de mon pénis à travers le satin de ma culotte.
Toc, Toc, Toc! Encore! Ma main tire sur ma culotte pour cacher le bout de mon pénis. J’ai trop envie de me caresser, de jouir pour éviter de penser à cet intrus qui insiste si lourdement. Je suis
chez moi. Je ne fais de mal à personne, alors qu’il s’en aille que diable !
Toc, Toc, Toc ! Cette fois ci, le ton est plus impérieux. Quelqu’un sait que je suis ici. La curiosité fut la plus forte et je déplaçais légèrement les rideaux pour voir qui pouvait insister
ainsi. C’est ma voisine Mme Jones, une forte dame d’une cinquantaine d’années. Elle me voit, me fit signe en souriant. Je ne pus que lui rendre son sourire. J’étais bien embêté car je devais
aller lui ouvrir pour pouvoir me débarrasser d’elle. Pas le temps de me déshabiller, il fallait simplement cacher mes vêtements. Je retirais rapidement mes chaussettes du soutien gorge et passais
un pull à grosse maille par-dessus le corsage. Cela devrait aller. Un jeans et une paire de basket compléteront le déguisement. Un dernier coup d’œil sur le miroir pour contrôler que rien n’était
visible et j’allais à la porte. Je me rendais bien compte du risque que je prenais mais me retrouver ainsi habillé devant une personne étrangère me montait à la tête, c’était une excitation
érotique intense. Vivement que je me retrouve de nouveau seul
Majid et moi
(Souvenirs du lycée)
Chaque week-end, dans ma chambre à l’internat du lycée, je me branlais en pensant à Majid, à la façon qu’il avait de me sucer, de me branler, du goût de sa bite, de la brûlure que je ressentais à
chaque fois que je buvais son sperme. J’attendais le dimanche soir et le moment où il viendrait me mettre son sexe sous le nez pour que je le prenne en bouche.
Je garde le souvenir terrible d’un dimanche soir où il n’était pas là. Malade, il était resté chez lui et je dus me contenter de ma main. Ce soir là, je sentis quelques larmes couler le long de
mes joues au moment de mon orgasme solitaire.
Je savais que Majid avait lui aussi envie d’autre chose que nos jeux de main et de bouche. Chacun hésitant encore à passer le pas. Un soir, après avoir éjaculé entre ses doigts, je lui demandais
s’il voulait venir en moi, s’il voulait mon cul. Je devais être rouge de confusion. Il m’embrassa et me remercia de mon offre mais qu’il ne voulait pas que ce soit comme ça, pas dans cette
chambre de l’internat, pas ce soir là.
Nous attendîmes le bon moment, en espérant en trouver un. Il se présenta de lui-même.
A nouveau, ce fut chez Majid. Il m’invita pour les vacances, trois jours. C’était pour Pâques. Je retrouvais avec plaisir les parents de mon ami, et ce canapé où j'avais reçu ma première
fellation. Cette fois-ci, il n’était pas question de profiter de l’absence des parents mais d’aller chercher une intimité dans une tente de camping. Majid avait prévu d’aller passer une nuit au
bord d’un lac tout proche, sous le prétexte d’y pécher.
Après une première soirée chez ses parents, nous partîmes sacs sur les épaules vers ce lac et ce coin tranquille. Après une bonne heure de marche à travers la forêt, nous arrivâmes sur les rives
du lac. Majid jeta son sac et ses vêtements avant de courir nu, plonger dans l’eau rafraîchissante. La simple vision de son corps nu me fit bander dans l’instant, et j’ôtais à mon tour mes habits
pour le rejoindre.
Nous nous embrassâmes. Nos corps nus se pressaient l’un contre l’autre dans l’eau fraîche qui avait du mal à venir à bout de notre érection. Nos langues se mêlaient, nos bouches n’arrivaient pas
à se décoller l’une de l’autre. Dans cet écrin de nature, seuls au monde, nous pouvions enfin laisser libre cours à nos envies. Je pensais qu’une fois sortis de l’eau, enfin nous pourrions
assouvir nos envies sexuelles qui nous consumaient depuis de longues semaines. Majid en avait décidé autrement. Il voulait encore attendre un peu avant de franchir le pas, et s’il ne refusa pas
une petite pipe partagée, il voulait en rester là.
Légèrement frustré, je le laissais mener le bal.
Il sortit les cannes de son sac, les installa, et nous péchâmes comme deux amis, buvant des bières qu’il avait piquées dans le frigo, attendant que le poisson morde. Après avoir avalé un
sandwich, nous allâmes nous baigner nus, et mon homme voyant que j’étais encore en forme, me branla sous l’eau, sensation particulièrement agréable.
Le soir vint doucement. Nous allumâmes un feu pour y griller des saucisses et faire cuire des pommes de terre sous la cendre. D’autres bières accompagnèrent notre festin. Majid me proposa un
dernier bain, et nous plongeâmes à nouveau dans l’eau pour nous embrasser sous le ciel étoilé.
Si en début de journée, l’envie était puissante, au fur et à mesure que le moment approchait, je sentis monter le trac. Nous sortîmes de l’eau, le sexe flasque, et nous glissâmes sous la toile de
tente. Dans la pénombre, nous commençâmes à nous caresser, les mains de mon ami glissant de façon de plus en plus pressante sur mes fesses, cherchant leur chemin. Il pris un tube de lubrifiant,
s’en mit sur les doigts et commença à m’en enduire l’anus. Je sentis un doigt se glisser en moi et fus parcouru d’un long frisson. Il me massa doucement, me préparant à sa venue. Il m’embrassa,
et me demanda une dernière fois si j’étais prêt. Je lui répondis oui, alors il me fit mettre sur le ventre et glissa sa bite entre mes fesses. Je sentis son gland appuyer sur mon trou. Il
s’avança doucement, et dans un coup de rein, il franchit l’orifice lubrifié. Je ressentis une vive douleur. Une brûlure qui me remonta tout le long du dos. Puis, lentement, au fur et à mesure
qu’il me sodomisait, cette sensation se transforma. Une vague de chaleur, une douce chaleur remplaça la brûlure douloureuse. Je sentais son sexe me traverser, et à chaque coup qu’il me donnait,
le plaisir se faisait plus fort, plus précis, plus intense. J’entendais son souffle s'accélérer, en même temps que moi. Ses mains serraient un peu plus fort mes hanches. Ses va et vient se
faisaient plus rapides. Tout d’un coup, je sentis ma bite se raidir et une décharge la traverser, je poussais un cri de plaisir. Mon amant donna alors un dernier coup de rein et éjacula en
poussant lui aussi un long cri de bonheur.
Il resta allongé sur moi, reposant de tout son poids, ruisselant de transpiration, la queue encore enfoncée dans mon cul. Nous reprîmes nos esprits doucement. Enchanté de cette première
expérience, Mon Chéri m’embrassa et me remercia. Il se retira, enleva sa capote et la jeta à l'extérieur. Je me retournais sur le dos. Je bandais ferme. Mon amant se pencha et me suça quelques
seconde avant de se mettre à quatre pattes pour m’offrir son cul.
Dans un premier temps, je refusais. Il fut surpris. Je lui dis alors que je voulais le prendre en plein air, sous les étoiles, dans la fraîcheur de la nuit. Il se releva, sortit de la tente et se
mit de nouveau en position sur le sac de couchage qu'il avait pris avec lui. J'enfilai un préservatif, lui enduis la raie de lubrifiant et plaçai mon gland contre son trou. Je bandais dur.
J'accentuais petit a petit la pression jusqu'à ce que son anus s'entrouvre et que je le pénètre. Il gémit. Je commençais doucement mes va et vient, voulant profiter de mon second dépucelage. Mon
copain m'encourageait par des " Baise-moi !" et "encule-moi !" qu'il criait à tue tête. L'étroitesse de son cul et l'excitation extrême me
firent jouir en quelques secondes. Je poussais un cri de plaisir. Majid, lui, semblait frustré par la rapidité de ma performance. Je me dégageais et entrepris de lui offrir une pipe. Apres avoir
goûté son cul, je retrouvais avec plaisir le goût de son zob. Il jouit dans ma bouche et m'embrassa aussitôt, nos langues se mêlèrent dans son foute qui dégoulinait sur nos mentons.
Nous restâmes allongés sous les étoiles, nus, sentant le sexe. Puis il se leva d'un coup et courut se jeter dans le lac en riant. Je fis de même. L'eau était glacée et nous sortîmes vite pour
retourner sous la tente où le sommeil nous prit vite.
Mon chéri dormait encore quand je me réveillais. Je pris son sexe dans la bouche et commençai à le sucer pour le faire bander. Il se réveilla en riant. Il me laissa faire un moment avant de
m'inviter à le sodomiser de nouveau. Il voulait, comme je l'avais fait la veille, connaître un orgasme en se faisant prendre. Je ne me fis pas prier. Je retrouvais le plaisir de l'encu
Joyeuses fêtes à toi aussi, même si cette fête chrétienne ne me concerne pas !
Gros bisous du Maroc !