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Quand j'étais encore élève interne dans un collège, j'aimais me sentir femelle, pute, me faire baiser par plusieurs élèves. J’adorais sentir leur bite aller et venir entre mes cuisses, s’insinuer, lentement mais sûrement, entre mes fesses pour trouver son passage au fond de mon « vagin ».

Endormi02.jpgRien que le fait d’être baisé me faisait éjaculer sans même me masturber. Ainsi, chaque nuit, à 22 h, après que le maître d’internat éteint les lumières dans notre dortoir, je dormais nu, à plat ventre sous mes couvertures et j’attendais.

Endormi01.jpgPresque 2 à 3 fois par semaine, vers 2h du matin quand tous les autres internes étaient profondément endormis, le même groupe, composé de 3 élèves, se relayait sur moi et me baisait à tour de rôle mais toujours dans le plus grand silence afin de ne réveiller personne.

Endormi04.jpgMoi, je faisais toujours semblant d’être endormi,  comme étant dans un état léthargique afin de leur faire croire que je ne sentais et ne remarquais rien ! Je ne donnais aucun signe, ni d’approbation, ni de refus.


Merci à lailatvx

Dim 20 mai 2012 3 commentaires

Un ami (Malek) à moi depuis quelques années avait (après plusieurs sollicitations) réussi à me persuader de l'accompagner à son chalet de chasse, à Ifrane, ville du moyen atlas marocain. Son chalet était très isolé dans les bois. J'avais informé mon ami que je n'avais pas un grand intérêt à la chasse, mais que pour l'expérience je suis prêt à l'accompagner pour voir.

Il me dit qu'il avait invité 2 autres compagnons de son travail à venir nous rejoindre le lendemain pour une semaine de chasse. Nous serions donc au total 4 gars, nos épouses étant demeurées à la maison.

Une fois Malek et moi arrivés au chalet, nous avons passé la soirée à consommer de la bière. Probablement que nous en avons trop bu, car j'ai totalement oublié ce qui s’est passé, mais au réveil, je me suis fait réveiller par un flash de caméra. Nous étions nus Malek et moi, collés un sur l'autre avec ses deux amis qui venaient d'arriver dans le chalet et qui nous avaient pris en photo.

Après plusieurs minutes de discussions, ceux-ci m'ont dit qu'ils pourraient facilement oublier le tout et détruire les photos si j'acceptais un jeu pour la semaine de chasse. Ceux-ci savaient que mon intérêt pour la chasse n'était pas très grand, donc ils m'ont proposé de faire la femme pour eux durant toute la semaine. Après réflexion, j'acceptai, car je ne voulais en aucun cas que ma famille découvre ce côté de moi que moi même je ne maîtrisais pas bien encore.

Ils partirent en ville acheter ce qu'il fallait comme linge et durant leur absence, j'ai dû me raser complètement les jambes, dessous de bras, sexe, etc. À leur retour, j’ai mis le linge qu'ils m'avaient acheté soit, soutien-gorge, bas mi-cuisse, robe osée, etc. Durant ce temps le plus vieux des 3 me dit de préparer le dîner, ce que je fis. Pendant que je servais ces messieurs, ils en profitaient à chaque passage pour me caresser en dessous de ma robe. À la fin du repas, ils partirent à la chasse me laissant la vaisselle.

Durant leur absence, j'en ai profité pour parfaire mon maquillage et me faire belle pour leur retour. Après le souper que je leur ai servi, ils me dires de les rejoindre (après la vaisselle) au feu de camp, ce que je fis. Durant la soirée, Malek est venu me coller et a commencé à me déboutonner le devant de ma robe pour ensuite détacher mon soutien-gorge et me pincer les mamelons. J'aimais cela et les autres le voyaient. Après plusieurs minutes, il me dit de lui faire une fellation et par la suite il me fit faire la même chose aux 2 autres. Pour le coucher, ils ont tiré à la courte paille avec qui j'allais coucher.

Cette première nuit avec un homme (ou je n'étais pas en ébriété) fut relativement calme. Celui-ci après quelques caresses, me lubrifia l'anus et me pénétra avec son pénis. Je me surpris à aimer cela et fut très déçu quant il est rapidement venu en moi. Nous avons fini la nuit collés l’un sur l'autre.

Le lendemain matin, j'ai préparé le repas en petite nuisette pour mes hommes. Comme j'étais resté sur ma faim, au premier qui me passa la main sur les fesses, je lui en ai donné pour son argent. Je lui ai fait une fellation alors qu'il était encore assis sur la chaise de cuisine et quand il fut suffisamment dur, je me suis assis sur lui et face à lui tout en prenant soin de mettre son pénis dans mon anus. Je lui ai pris la tête et je l'ai mis sur mes seins en lui disant « mange mon cochon », ce qu'il fit. Je me suis mis par la suite à faire le va-et-vient avec mon bassin et lui aussi, rapidement il éjacula en moi. Je l'ai remercié et me suis levé pour aller faire la vaisselle. À partir de ce moment-là, les gars ont commencé à m'appeler « Laila la salope » et j'aimais cela...

J'aimais de plus en plus mon rôle de femme et de salope. Durant qu'ils étaient partis à la chasse, je prenais un immense plaisir à leur préparer des gâteries pour leur retour. Le soir, après le repas, alors qu'ils étaient encore tous à table, le plus vieux me dit de me pencher sur la table, lui donnant mon anus à porter bien en évidence. Il me lubrifia l'anus et me dit qu'il allait me pénétrer pour me remercier du bon repas, ce qu'il fit. Quant il eut fini, les autres m'ont dit qu’eux aussi ont aimé le repas, donc ils m'ont tous pénétré l’un après l'autre. Une fois qu'ils ont fini, je leur servis le dessert en les remerciant de leur gratitude. J'avais l'anus en feu, mais j'aimais cela comme une folle.

Plus la semaine avançait, plus les jeux sexuels étaient pervers et j'étais leur salope avec un immense plaisir. Toutefois, je n'avais pas prévu m'amouracher d’un en particulier. En effet, je remarquai à chaque fois qu'ils revenaient de la chasse que je me jetais dans les bras de Malek en premier, que je l'embrassai tendrement et sensuellement à toute occasion et que, souvent le soir, nous sortions faire une marche en amoureux.

Le dernier soir, Malek m'invita à marcher avec lui sur le bord du lac. Comme je venais tout juste de satisfaire mes 3 autres, j'acceptai et le suivis en simple déshabillé. Main dans la main, nous nous sommes promenés sur le bord du lac durant plusieurs heures en amoureux. Il s'arrêta et m'embrassa tendrement sur la bouche durant plusieurs minutes. J'étais en extase, lorsqu'il eut fini, j’ai ouvert les yeux et lui ai dit sans réfléchir " je t'aime mon homme ". Je fus surpris et soulagé en même temps. Pour toute réponse, il me dit « moi aussi ». Nous sommes retournés au chalet et Malek a dit aux autres hommes que le jeu était terminé et que dorénavant, j'étais sa Femme à lui seulement.
Le soir, il me fit l'amour avec une délicatesse et une tendresse que tous mes sens ont apprécié. Pour la première fois de la semaine, mon homme me fit éjaculer sans même me masturber, uniquement grâce au plaisir anal qu’il m’a procuré avec son zob qui me labourait.

Par la suite, nous avons convenu de refaire ce voyage 1 fois par mois et de se revoir à l'occasion pour le plaisir et acheter ensemble ma garde-robe de femme pour mon homme.

 

lailatvx - le 21/05/2012 à 06h29

Bonjour je suis un vide couille alors les mec ajouter moi:

votrevide@hotmail.fr

vide couille - le 28/05/2012 à 15h29

Quand j'arrivai au Sahara, au sud du Maroc, ce n'était pas pour faire du tourisme mais pour trouver des mecs.
J'étais devenu une véritable folle de la bite, mais plutôt de la grosse, de l'énorme zob.
Les marocains pourtant bien montés ne me suffisaient plus, il me fallait plus gros et c'est pourquoi j'étais venu au Sahara car j'avais lu que c'est dans cette région où les mecs sont le mieux montés au monde.
J'avais un peu d'argent de côté ce qui me permettrait de tenir au moins deux semaines, donc deux semaines de baise effrénée avant de rentrer à Rabat.

Après avoir dégotté un petit hôtel, je me rendis à la plage de Laayoune. A peine arrivé, je vis un beau black se baignant nu.
Il avait une superbe queue comme je n'en avais jamais vu, longue et grosse.
Je m'approchai de lui et lui dis: 'Ta queue est magnifique et excitante'.
- Je ne suis pas homo, ma queue est réservée aux femmes.
- Laisse-moi te sucer, il n'y a personne dans ce coin, ça ne t'engage à rien, personne ne le saura.
En lui parlant, je vis que sa queue gonflait, elle devenait monstrueuse, vraiment mes informations étaient vraies.
Je baissai mon maillot et tortillai du cul devant lui tout en lui disant 'Tu sais je la veux vraiment dans ma bouche et dans mon cul
- Dans ton cul, tu n'arriveras même pas à faire entrer le début de la tête.
- Laisse-moi faire, on verra bien.
- Fais comme tu veux mais je te préviens c'est tant pis pour toi, si tu m'excites trop il faudra que tu la prennes dans ton cul blanc, sinon je vais te l'enfoncer de force.
- D'accord.
- Méfie-toi, je ne bande pas encore complètement, quand ma queue est dressée elle fait 28 centimètres de long et 7 centimètres de diamètre.
- Tant que ça !
- Eh oui Pédé, ça c'est le zob de Lamine, tu rigoles moins maintenant.
- C'est vrai mais je veux quand même essayer.
- D'accord mais je t'ai prévenu.
- Oui.
- Alors vas-y pédé, commence à sucer.
Je commençai à caresser le gigantesque zob noir qui se mit à grossir et à grandir encore pour atteindre ses dimensions surréalistes.
La bite était 2 fois plus large et 3 fois plus longue qu'une bite de bonne taille, je pense qu'elle faisait plus de 28 centimètres de long mais ce n'est pas ça qui m’effrayait quand même, c'est la grosseur.
A ce moment, je me demandai s'il ne valait pas mieux tout arrêter car je n'étais vraiment pas sûr de pouvoir m'empaler sur un tel morceau.
En même temps, j'avais tellement envie de me faire défoncer par un tel engin que je me dis que je devais tenter le tout pour le tout, quitte à me faire déchirer le trou.
J'attrape la queue de Lamine et enfournai son gland dans ma bouche.
Le bout durci était gros comme un champignon, je passai ma langue autour.
Cet attouchement eut pour effet de faire encore gonfler la pine qui était dans ma main, c'était tellement énorme que je n'en faisais pas le tour.
La bite de mon amant avait un bon goût salé, j'aimais ce gland rose et cette peau noire que je faisais passer dessus dessous.
Ce n'était pas la première fois que je suçai des grosses hampes et je m'étais fait une spécialité de pipes profondes.
J'enfonçai progressivement ce fantastique membre dans ma gorge bien au fond, tout en ouvrant grand ma bouche pour aller chercher le plus loin possible.
La monstrueuse tête buta contre mes amygdales, j'eus un haut le coeur et ne fus pas loin de vomir.
Je sortis le sexe d'entre mes lèvres et le lubrifiai de salive puis j'avalai à nouveau le phallus raide.
Mon homme était vraiment excité par ce que je lui faisais, il me dit 'Jamais une femme ne m'a fait ça, tu suces divinement bien'.
Je me mis à lui lécher les couilles tout en le branlant, se cambrant pour s'offrir encore plus à ma douce caresse, mon mec murmura 'Hummm c'est bon, continue salope !'.
Je caressai ses couilles bien mouillées de salive et le suçai encore à fond.
Chaque fois que sa bite rentrait à fond, il me disait 'C'est trop bon, tu vas me faire jouir, je vais pas tenir longtemps comme ça'.
N'écoutant pas ce que Lamine me disait, je continuais ma lente fellation, pompant le gland de mes lèvres crispées.
Au bout de quelques instants, je sentis l'immense pénis tressauter sur ma langue, j'enfonçai la verge tuméfiée au plus profond de ma bouche et dans un râle langoureux, mon amant éjacula.
Je reçus un flot de sperme crémeux au fond de la gorge que j'avalai avec délice puis je sortis le monumental zob de ma bouche tout en cajolant le gland qui continue à se vider en moi par saccades.
Quand je libérai enfin mon homme, celui-ci me dit 'Tu es vraiment une salope, tu suces comme une pute.
- je suis content que ça t’ait plu.
- Oui ça m'a plu mais maintenant, ce que je veux voir c'est si ton trou du cul est aussi bon que ta bouche.
- Tu vas voir il est encore meilleur, tous ceux qui m'ont déjà baisé disent que je baise mieux que la meilleure des putes.
- C'est ce que nous allons voir.
- Bien sur mais étant donné ton calibre, la seule chose que je te demande, c'est de me laisser faire.
- Pas de problème du moment qu'à la fin tu sois bien enculé.
- c'est aussi ce que je veux, j'ai envie de jouir par ta bite.
- Alors vas-y, prépare ton petit cul blanc à recevoir ma grosse bite noire'.
Je fis mettre mon mec à plat ventre, je me mis à cheval sur sa queue et frottai mon cul à sa bite.
Aussitôt je sentis sa bite bander sous mes fesses et devenir raide.
Je me mis à faire des ondulations et le monstrueux phallus retrouva ses phénoménales dimensions.
Lamine, profitant du fait que je me sois levé, m'enfonça deux de ses doigts dans le trou du cul.
Cette soudaine intromission me fit pousser un petit cri de douleur qui fit rigoler mon amant.
J'avais compris qu'avec mon homme ce ne se ferait pas dans la douceur, et pour lui la seule chose qui comptait c'était de m'enfoncer sa bite dans l'anus et de tirer son coup.
Lamine m'enfonça un troisième doigt et fis tourner sa main pour m'élargir la pastille.
Je commençai à être en feu et je ne pus m'empêcher de pousser un lourd soupir de bien-être.
Mon amant jugeant que les prémisses avaient assez duré m'écarta les fesses, il positionna son gland turgescent à l'entré de ma grotte et me dit 'Allez salope, empale-toi sur mon gros boudin'.
Lentement, je commençai à peser sur le puissant bout durci, je sentis ma fente s'ouvrir.
Quand la colossale tête de son sexe écarta mes chairs et commença à me pénétrer, j'eus l'impression qu'on m'ouvrait le cul en deux et je poussai un hurlement de douleur et me redressai pour soulager le mal qui se propageait dans tout mon corps.
Mon homme me dit 'Alors sale pute, tu vas te l'enfoncer dans ton joli cul blanc ou il faut que je le fasse'.
Je redescendis et petit à petit, en serrant les dents pour ne pas crier, je sentis cet énorme gland rentrer dans mon cul.
Quand enfin l'imposant bout durci fut en moi, j'avais l'impression qu'un fer porté au rouge était planté au fond de mes entrailles et je pleurais à chaudes larmes.
Mon mec jugeant que ce n'était pas suffisant commença à s'activer, faisant entrer sa queue de plus en plus dans mon trou.
J'ai le cul complètement défoncé, mais mettant mes mains en dessous,

lailatvx - le 28/05/2012 à 18h05